Parmi les enjeux de la transition démographique, le sujet des troubles cognitifs et notamment celui de la maladie d’Alzheimer est un défi qu’il est urgent de relever.
Alors qu’aujourd’hui 1 million de personnes sont touchées par la maladie d’Alzheimer en France, on comptera 2 millions de personnes malades en 2050, et bien plus encore de personnes âgées souffrant de troubles cognitifs au sens large (démence vasculaires, troubles cognitifs liés à la dépression, dégénérescence mentale etc…).
Ces maladies nous questionnent parce qu’elles interrogent la manière dont notre société accueille les vulnérabilités. Les progrès de la science et des techniques pour soigner de nombreuses pathologies non cognitives sont indiscutables. Mais les troubles cognitifs nous demandent de mobiliser d’autres ressources (prendre soin, empathie, lien social, éthique) que notre paradigme techno-économique centré sur la performance et la compétition peine à cultiver, voire contribue à détruire.
Il existe cependant une réponse pleine d’espoir à apporter. Il s’agit d’un formidable défi de société que nous devons collectivement relever : celui du prendre soin jusqu’au bout - dans le respect de la dignité des personnes. Il est de notre responsabilité de nous mobiliser pour adresser une réponse collective - et pas uniquement médicale - à ces troubles qui représentent la première cause de perte d’autonomie en France.
Alenvi s’est construit sur une conviction : proclamer l’égale dignité des personnes quel que soit leur état de santé mental ou cognitif et leur permettre de prendre toute leur place dans la société. Nous sommes également convaincus que l’accompagnement des personnes et la force de la relation sont les clés pour à la fois ralentir les troubles et construire un projet de vie épanouissant pour les personnes âgées fragiles.
Celles-ci retrouvent même un vrai sentiment d’utilité sociale en vivant ensemble.
C’est la raison pour laquelle nous faisons le pari de l’habitat partagé, avec la conviction forte que l’entraide entre les colocataires et le lien social dans les maisons offrent un cadre de vie apaisant, fondé sur la force de la relation et les repères d’une routine rassurante.
Nos maisons partagées permettent à leur échelle de réintégrer ces personnes en perte de repères dans des petits cercles sociaux, celui de la maison et du quartier par exemple, et donc in fine celui de la société toute entière.
Et cet accompagnement collectif des personnes âgées en perte d’autonomies repose sur la coresponsabilité des acteurs qui prennent chacun leur part :
Finalement loin d’être seulement une solution d’hébergement, nos habitats partagés sont un véritable projet de vie collaboratif qui participe à la transformation du secteur et contribue à bâtir la société du lien à laquelle nous aspirons collectivement.
Parmi les enjeux de la transition démographique, le sujet des troubles cognitifs et notamment celui de la maladie d’Alzheimer est un défi qu’il est urgent de relever.
Alors qu’aujourd’hui 1 million de personnes sont touchées par la maladie d’Alzheimer en France, on comptera 2 millions de personnes malades en 2050, et bien plus encore de personnes âgées souffrant de troubles cognitifs au sens large (démence vasculaires, troubles cognitifs liés à la dépression, dégénérescence mentale etc…).
Ces maladies nous questionnent parce qu’elles interrogent la manière dont notre société accueille les vulnérabilités. Les progrès de la science et des techniques pour soigner de nombreuses pathologies non cognitives sont indiscutables. Mais les troubles cognitifs nous demandent de mobiliser d’autres ressources (prendre soin, empathie, lien social, éthique) que notre paradigme techno-économique centré sur la performance et la compétition peine à cultiver, voire contribue à détruire.
Il existe cependant une réponse pleine d’espoir à apporter. Il s’agit d’un formidable défi de société que nous devons collectivement relever : celui du prendre soin jusqu’au bout - dans le respect de la dignité des personnes. Il est de notre responsabilité de nous mobiliser pour adresser une réponse collective - et pas uniquement médicale - à ces troubles qui représentent la première cause de perte d’autonomie en France.
Alenvi s’est construit sur une conviction : proclamer l’égale dignité des personnes quel que soit leur état de santé mental ou cognitif et leur permettre de prendre toute leur place dans la société. Nous sommes également convaincus que l’accompagnement des personnes et la force de la relation sont les clés pour à la fois ralentir les troubles et construire un projet de vie épanouissant pour les personnes âgées fragiles.
Celles-ci retrouvent même un vrai sentiment d’utilité sociale en vivant ensemble.
C’est la raison pour laquelle nous faisons le pari de l’habitat partagé, avec la conviction forte que l’entraide entre les colocataires et le lien social dans les maisons offrent un cadre de vie apaisant, fondé sur la force de la relation et les repères d’une routine rassurante.
Nos maisons partagées permettent à leur échelle de réintégrer ces personnes en perte de repères dans des petits cercles sociaux, celui de la maison et du quartier par exemple, et donc in fine celui de la société toute entière.
Et cet accompagnement collectif des personnes âgées en perte d’autonomies repose sur la coresponsabilité des acteurs qui prennent chacun leur part :
Finalement loin d’être seulement une solution d’hébergement, nos habitats partagés sont un véritable projet de vie collaboratif qui participe à la transformation du secteur et contribue à bâtir la société du lien à laquelle nous aspirons collectivement.
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