Les troubles cognitifs ne se résument pas seulement à Alzheimer et peuvent aussi cacher une autre pathologie : dépression, apnée du sommeil, troubles cardio-vasculaires… Ils peuvent aussi dissimuler d'autres risques, comme par exemple la chute ou encore la dénutrition.
Car plus on attend, plus le risque est grand de passer à côté d’affections sous-jacentes, parfois traitables.
👉 D’où l’importance d’une consultation mémoire ou d’un neurologue (un diagnostic précis permet une prise en charge adaptée !)
À réévaluer tous les 6 à 9 mois, car l’évolution est fréquente.
Le bon diagnostic permet de bien accompagner et de pouvoir agir au plus vite sur la diminution des troubles et de lutter contre l’isolement. Car plus on attend, plus l’évolution de la maladie sera rapide !
Lorsque l’accompagnement est bien construit, les troubles du comportement peuvent s'atténuer. De nombreuses approches non médicamenteuses existent et jouent un rôle majeur :
- Accueils de jour
- Hôpitaux de jour thérapeutiques
- ESA (équipes spécialisées Alzheimer)
- Orthophonistes, ergothérapeutes, psychomotriciens à domicile
Ces derniers s’appuient sur les capacités préservées des personnes pour maintenir l’autonomie et stimuler l’estime de soi.
- Téléalarme
- Portage de repas
- Anticipation des chutes
- Dispositifs sociaux (APA, aides municipales)
💬 On n’attend pas la chute pour agir. On anticipe.
Les aidants familiaux jouent un rôle clé mais sont souvent seuls et épuisés. En effet, ils n’osent pas passer le relai alors même que leur santé mentale ou physique peut bien souvent commencer à être atteinte
Des solutions existent. Elles proposent soutien psychologique, information, formations, mais aussi des solutions concrètes pour offrir un peu de répit
- Plateformes de répit, Centr’Aider, M2A
- Aides financières (APA, PCH...)
- Droits à connaître : personne de confiance, directives anticipées, mandat de protection future
Dans certain cas, le maintien à domicile n’est plus possible car :
La colocation Alzheimer peut alors être une bonne alternative.
Une colocation Alzheimer c’est :
💡 Ce modèle n’est pas financé par l’ARS car il n'est pas un établissement médico-social mais bien un domicile. Il offre une troisième voie entre le domicile seul et l'EHPAD.
« La colocation peut vraiment réparer les familles abîmées par la maladie. » Dr Verges Cousin
Pour mieux comprendre et agir, le Dr Vergès a créé une carte mentale complète du parcours de soin en cas de troubles cognitifs.
Elle recense :
- Étapes de diagnostic
- Dispositifs d’accompagnement
- Aides sociales et juridiques
- Solutions alternatives (ESA, colocation, accueil familial)
Les troubles cognitifs ne se résument pas seulement à Alzheimer et peuvent aussi cacher une autre pathologie : dépression, apnée du sommeil, troubles cardio-vasculaires… Ils peuvent aussi dissimuler d'autres risques, comme par exemple la chute ou encore la dénutrition.
Car plus on attend, plus le risque est grand de passer à côté d’affections sous-jacentes, parfois traitables.
👉 D’où l’importance d’une consultation mémoire ou d’un neurologue (un diagnostic précis permet une prise en charge adaptée !)
À réévaluer tous les 6 à 9 mois, car l’évolution est fréquente.
Le bon diagnostic permet de bien accompagner et de pouvoir agir au plus vite sur la diminution des troubles et de lutter contre l’isolement. Car plus on attend, plus l’évolution de la maladie sera rapide !
Lorsque l’accompagnement est bien construit, les troubles du comportement peuvent s'atténuer. De nombreuses approches non médicamenteuses existent et jouent un rôle majeur :
- Accueils de jour
- Hôpitaux de jour thérapeutiques
- ESA (équipes spécialisées Alzheimer)
- Orthophonistes, ergothérapeutes, psychomotriciens à domicile
Ces derniers s’appuient sur les capacités préservées des personnes pour maintenir l’autonomie et stimuler l’estime de soi.
- Téléalarme
- Portage de repas
- Anticipation des chutes
- Dispositifs sociaux (APA, aides municipales)
💬 On n’attend pas la chute pour agir. On anticipe.
Les aidants familiaux jouent un rôle clé mais sont souvent seuls et épuisés. En effet, ils n’osent pas passer le relai alors même que leur santé mentale ou physique peut bien souvent commencer à être atteinte
Des solutions existent. Elles proposent soutien psychologique, information, formations, mais aussi des solutions concrètes pour offrir un peu de répit
- Plateformes de répit, Centr’Aider, M2A
- Aides financières (APA, PCH...)
- Droits à connaître : personne de confiance, directives anticipées, mandat de protection future
Dans certain cas, le maintien à domicile n’est plus possible car :
La colocation Alzheimer peut alors être une bonne alternative.
Une colocation Alzheimer c’est :
💡 Ce modèle n’est pas financé par l’ARS car il n'est pas un établissement médico-social mais bien un domicile. Il offre une troisième voie entre le domicile seul et l'EHPAD.
« La colocation peut vraiment réparer les familles abîmées par la maladie. » Dr Verges Cousin
Pour mieux comprendre et agir, le Dr Vergès a créé une carte mentale complète du parcours de soin en cas de troubles cognitifs.
Elle recense :
- Étapes de diagnostic
- Dispositifs d’accompagnement
- Aides sociales et juridiques
- Solutions alternatives (ESA, colocation, accueil familial)
Vous cherchez une aide à domicile ou une solution d’hébergement pour votre proche en perte d’autonomie ? Vous cherchez une aide ponctuelle post hospitalisation ?
Contactez-nous