Contrairement au travail à domicile ou en établissement médico-social, l’habitat partagé permet aux auxiliaires de vie de rester toute la journée au même endroit, sans avoir à enchaîner les déplacements d’une maison à l’autre. Quels avantages ?
Travailler dans un habitat partagé, c’est exercer son métier dans de bonnes conditions, ce qui favorise la stabilité, l’engagement sur le long terme et un meilleur équilibre de vie.
Dans une maison partagée Alzheimer, les auxiliaires de vie ne se contentent pas de faire du soin : elles accompagnent la personne dans toutes les dimensions de son quotidien. Toilette, repas, activités, sorties… chaque moment devient une opportunité de lien, d’échange et de soutien.
Selon le rapport de la Fondation Méd Alzheimer, les auxiliaires de vie passent plus de 91 % de leur temps de travail aux côtés des colocataires. Cette présence continue crée un environnement rassurant, chaleureux et profondément humain. Les auxiliaires de vie ne sont plus des intervenants ponctuels, mais des figures de référence dans la vie des colocataires.
Les auxiliaires de vie ne sont pas seules. Elles travaillent en coordination avec un coordinateur, qui assure le suivi global, le lien avec les familles et la bonne communication au sein de l’équipe.
Des réunions de coordination régulières permettent aux auxiliaires de vie de partager leurs observations, de s’ajuster collectivement et de se sentir soutenues. C’est un modèle où le travail d’équipe est valorisé, ce qui contribue aussi à la qualité de vie au travail.
En travaillant dans un lieu unique, les auxiliaires peuvent prendre le temps de bien faire leur travail. Résultat : elles se sentent plus utiles, plus écoutées, et les colocataires reçoivent un accompagnement mieux adapté à leurs besoins. Moins de stress, plus de temps, plus de liens : tout le monde y gagne.
Cette proximité quotidienne favorise aussi la connaissance fine des personnes accompagnées, un point essentiel dans l’accompagnement des troubles cognitifs. Cela permet de mieux anticiper les besoins, de désamorcer les tensions, et de renforcer la sécurité affective des habitants.
Cependant, pour que cet accompagnement soit pleinement efficace, la formation aux spécificités de la maladie d’Alzheimer est indispensable.
Former les auxiliaires de vie, c’est leur donner les clés pour :
Travailler en habitat partagé représente une véritable opportunité pour les auxiliaires de vie : un cadre rassurant, humain, plus stable, qui redonne du sens à leur engagement quotidien. Dans un contexte de crise du secteur, ce modèle est une piste prometteuse pour attirer, fidéliser et former les professionnels qui jouent un rôle fondamental dans l’accompagnement des personnes atteintes d’Alzheimer.
Rejoignez nos Maisons Partagées et travaillez au sein d'une équipe engagée au service des colocataires !
Contrairement au travail à domicile ou en établissement médico-social, l’habitat partagé permet aux auxiliaires de vie de rester toute la journée au même endroit, sans avoir à enchaîner les déplacements d’une maison à l’autre. Quels avantages ?
Travailler dans un habitat partagé, c’est exercer son métier dans de bonnes conditions, ce qui favorise la stabilité, l’engagement sur le long terme et un meilleur équilibre de vie.
Dans une maison partagée Alzheimer, les auxiliaires de vie ne se contentent pas de faire du soin : elles accompagnent la personne dans toutes les dimensions de son quotidien. Toilette, repas, activités, sorties… chaque moment devient une opportunité de lien, d’échange et de soutien.
Selon le rapport de la Fondation Méd Alzheimer, les auxiliaires de vie passent plus de 91 % de leur temps de travail aux côtés des colocataires. Cette présence continue crée un environnement rassurant, chaleureux et profondément humain. Les auxiliaires de vie ne sont plus des intervenants ponctuels, mais des figures de référence dans la vie des colocataires.
Les auxiliaires de vie ne sont pas seules. Elles travaillent en coordination avec un coordinateur, qui assure le suivi global, le lien avec les familles et la bonne communication au sein de l’équipe.
Des réunions de coordination régulières permettent aux auxiliaires de vie de partager leurs observations, de s’ajuster collectivement et de se sentir soutenues. C’est un modèle où le travail d’équipe est valorisé, ce qui contribue aussi à la qualité de vie au travail.
En travaillant dans un lieu unique, les auxiliaires peuvent prendre le temps de bien faire leur travail. Résultat : elles se sentent plus utiles, plus écoutées, et les colocataires reçoivent un accompagnement mieux adapté à leurs besoins. Moins de stress, plus de temps, plus de liens : tout le monde y gagne.
Cette proximité quotidienne favorise aussi la connaissance fine des personnes accompagnées, un point essentiel dans l’accompagnement des troubles cognitifs. Cela permet de mieux anticiper les besoins, de désamorcer les tensions, et de renforcer la sécurité affective des habitants.
Cependant, pour que cet accompagnement soit pleinement efficace, la formation aux spécificités de la maladie d’Alzheimer est indispensable.
Former les auxiliaires de vie, c’est leur donner les clés pour :
Travailler en habitat partagé représente une véritable opportunité pour les auxiliaires de vie : un cadre rassurant, humain, plus stable, qui redonne du sens à leur engagement quotidien. Dans un contexte de crise du secteur, ce modèle est une piste prometteuse pour attirer, fidéliser et former les professionnels qui jouent un rôle fondamental dans l’accompagnement des personnes atteintes d’Alzheimer.
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